Yann Joel Recourcé

Jeannou, Gaëlle
Je pense immensément à vous et m'associe pleinement à votre peine. Je ne peux malheureusement pas me joindre à vous aujourd'hui pour accompagner Yann, alors je vais emprunter la "voix" de Paul Eluard :
"La nuit n'est jamais complète.
  Il y a toujours, puisque je le dis,
  Puisque je l'affirme,
  Au bout du chagrin
  Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée "

Et chez moi, une porte grand'ouverte.
Affectueuses pensées 💭 

J'ai connu yann grâce aux fiançailles au liban de Frédérique photographe de Paris, j'ai gardé un très bon souvenir de ce voyage avec yang, il laissera derrière lui beaucoup de souvenirs, sa gentillesse et générosité qu'ont ne pourra oublier ,bon courage à la maman ! Que dieu l'accompagne au paradis  !

Une pensée remplie d’émotion pour cette belle Âme qui a quitté la Farandole de la Vie Terrestre, en nous laissant le souvenir intense de moments uniques, éclairés par sa présence toujours au comble de la Bienveillance et teintée d’humour (les fiançailles au Liban, l’annonce de ma première grossesse, le départ à la maternité, …) mais aussi d’innombrables discussions au long cours, autour d’un bon repas, de partages d’expériences et d’échanges d’idées, de rires francs et de sourires qui réchauffent le cœur… Des dizaines de travaux dans notre maison aussi, dont le résultat, lui, nous accompagne tous les jours et est comme un clin d’œil de Yann, toujours présent dans nos vies…

Nous restons liés par-delà nos enveloppes terrestres, et je garde intacte la sensation merveilleuse d’être accompagnée par un AMI.

Toutes mes condoléances les plus sincères à Janou, Gaëlle et à l’ensemble des personnes qui pleurent la disparition de Yann : la peine est immense, le vide incommensurable !

Affectueusement,
Zet

(Josette, épouse de Frédéric Joly)

Yann,
Je n'arrive pas à croire que je ne t'entendrai plus. Le choc est grand. Trop vite, trop tôt ... 
Depuis mon départ de Sens pour la Corse en 2011, nous communiquions moins mais tu auras été un très grand ami pour moi à passer des heures, voire des nuits à parler … de la vie !
Tu as toujours été là pour les fêtes que j'organisais chez moi mais aussi pour tous les moments difficiles, les remises en question, les doutes. Tu avais toujours une oreille attentive. J'écoutais tes conseils, que je prenais, ou pas. Notre échange était très riche, pas toujours d'accord mais toujours sincère. J'ai appris beaucoup avec toi et j'ai toujours pu compter sur toi, pour tout. Tu m'avais emmener à une cousinade dans ta Bretagne que tu aimais tant. On nous a souvent cru « en couple » tant nous étions inséparables. Nous écoutions la même musique ... et France Inter !
Nos choix de vie nous ont éloignés mais le téléphone nous permettait de discuter encore de nombreuses heures de jour comme de nuit … car tu ne dormais pas beaucoup ! Je pense à Guy Bedos qui a fait écrire sur sa tombe à Lumio en Corse « Je dors enfin » …
Jeudi à 13 h, puisque je ne serai pas près de toi mais que les âmes voyagent, j'irai sur les rochers de la plage d'Algajola et j'enverrai des immortelles, ces fleurs corses qui ne meurent jamais, dans la mer en écoutant « Vivez heureux car demain il sera trop tard » de Jacques Higelin.
Yann, je ne sais pas si je t'ai assez remercié …
Alors une dernière fois MERCI d'avoir existé. Je ne t'oublierai jamais.
Une tendre pensée à Gaëlle et ta maman
Annick

Yann, c'est avec une immense tristesse et beaucoup de chagrin que j'ai appris ta disparition. Outre les quelques petites années passées ensemble, j'ai toujours gardé pour toi une grande tendresse, car tu étais un être attachant. Je pense beaucoup aujourd'hui à Janou et Gaëlle pour cette difficile épreuve. Ne pouvant être présente à la cérémonie te rendant hommage, mes pensées t'accompagneront ainsi que tes amis et famille, pour ton ultime voyage... Vole, vole vers la douceur et la lumière.
Brigitte